Wonderboy

Lancé en 1987, le jeu Wonderboy est considéré comme le gros hit de la console SEGA et cela jusqu’à l’arrivée de Sony. Il s’agit d’un jeu de plateforme qui ressemble étrangement à Mario.

Wonderboy est une sage décliné en une multitude de volets, on retiendra principalement :

  • Wonder Boy in Monster Land,
  • Wonder Boy III: The Dragon’s Trap,
  • Wonder Boy III: Monster Lair,
  • Wonder Boy in Monster World
  • et Monster World IV.

Vous incarnez un homme du nom de Tom-Tom. Ce dernier est tout à fait normal, sans pouvoirs extra-ordinaires ou n’importe quoi d’autre, mais reste néanmoins très courageux.

On apprend au début du jeu que Tanya, la petite amie du héros s’est faite enlever et le but du jeu est de tout faire pour aller la tirer des griffes du monstre qui la détient.

Le joueur doit diriger Tom-Tom à travers neuf niveaux composés de quatre « rounds ». Le dernier niveau ne peut être accessible que si Tom-Tom a préalablement collecté toutes les poupées à l’effigie de Tanya cachées dans chacun des niveaux.

Pour arriver à ses fins, notre ami possède de plusieurs cordes à son arc. Ainsi, il peut lancer des marteaux et dispose même d’une planche de skate et de biens d’autres gadgets dissimulés dans des œufs éparpillés sur l’île. Vous devez faire attention à ne pas ramasser les œufs rouge et blancs qui sont mortels.

Chacun des niveaux est différents des autres au niveau de l’environnement. En effet, on trouve des forêts, de collines, des océans, des cavernes, des palais glace, et des nuages. De plus, ces niveaux ne se parcourent que de gauche à droite.

Certes, les graphismes ne sont pas spectaculaire comparé aux jeux vidéo actuels. Ils sont cependant très colorés et bien réalisés pour un jeu de cet âge ! Toutefois, on trouve que l’arrière-plan du niveau se répète et devient très fade au bout d’un certain temps.

Du coté de l’ambiance sonore, les programmeurs ont fait l’effort de nous composer de jolies mélodies adaptées aux niveaux. En effet, la musique est joyeuse dans les niveaux où il n’y a que de petits monstres et plus sombre quand on a à faire aux boss. Dommage qu’elles soient elles aussi répétitives.

A coté de ces qualités évidentes, Wonderboy possède un défaut de taille : le gameplay. En effet, la maniabilité est trop compliquée et cela peut pesé dans la balance. Malgré tout, le résultat reste formidable.

Vidéo

L’épisode présenté est  Wonder Boy in monster world. Sorti sur Mega Drive il est l’un des meilleurs épisode de la série.

J’ai eu beaucoup de mal avec les contrôles sur clavier… Quand on a l’habitude d’un bon paddle c’est vraiment pas simple.

Ressources en ligne