Jouer-Online Blog

Le monde du jeu en ligne
juin 19, 2009

Panda’s Big Adventure et Oran

Author: Thierry S. - Categories: Jeux, Sélection du week end - Tags: , , , , , , ,

Ouais aujourd’hui j’ai un peu la flemme de rédiger un article, alors pour me faire pardonner, je vous propose 2 jeux avec une vidéo.

Panda’s BIG Adventure

Dernier épisode et hélas le plus court de la série Panda’s Adventure. Cette fois il va falloir traverser les époques et revenir en 2009 grâce à votre chiotte à remonter le temps.

Jouer à Panda’s BIG Adventure

Oran

Petit jeu de plateforme où il faut collecter des pièces. Sans prétention c’est son charme qui m’a plu et surtout le COIIIN à chaque fois qu’on grapille une piécette 🙂

Jouer à Oran

juin 18, 2009

Dynamic Systems

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , ,

Dynamic Systems

The Incredible Machine ça vous dit quelquechose ? Non ?

Il s’agit des réactions en chaînes avec des dominos, des allumettes, des boules… Honda en a réalisé une avec les pièces d’une de ses voitures.

Grand enfant dans l’âme, j’adore ce type de jeu. Où la simple petite pichenette du début engendre de grande conséquence 🙂 Mais revenons en à Dynamic Systems.

C’est un jeu publié par King.com, où il faut arriver à faire rejoindre votre bille en métal dans le panier d’arrivée. Chaque tableau vous propose donc un chemin de base avec diverses pièces (qui tournent, qui rebondissent, qui explosent…) et une liste d’items disponibles pour compléter le chemin.

Une grande réussite du jeu est le système de positionnement de ces items complémentaires. Un petit menu s’affiche et vous pourrez aisément controler leur position et leur inclinaison via la souris. Le moteur physique fonctionne très bien et n’a pas à rougir face à la référence Collider. C’est même un peu mieux 🙂

En ce qui concerne le calcul du score, plus le chemin sera long plus il sera gros. De quoi vous donner envie d’utiliser un maximum de pièces et d’avoir le meilleur parcours.Vraiment bien vu !

D’un point de vue esthétique c’est vraiment chouette. Les graphismes et les animations sont travaillés et de très bonnes factures. La musique et les effets sonores sont du même niveau : propres, efficaces et entraînants.

Le rendu final est saisissant, on retrouve le plaisir d’un gamin qui joue avec ses mécanos. Mon petit chouchou ça reste les dominos et le marteau.

La présence d’un éditeur de niveau est également un vrai plus. Celà devient encore plus intéressant de partager ses niveaux avec ses amis 🙂

Pour conclure, Dynamic Systems vient bousculer la donne dans ce type de jeu. Il devient pour moi la référence, et est une excellent base pour de nouvelles déclinaisons. Il est complet, beau et surtout addictif !

Jouer à Dynamic System.

juin 17, 2009

Space Harrier

Author: Thierry S. - Categories: L'instant rétro - Tags: , , ,

Space Harrier

Sega innove en 1985 en sortat le premier shoot’em up en 3D : Space Harrier du grand Yu Suzuki.

Space Harrier est totalement fantaisiste, on contrôle le héros qui est accroché à son arme volante. Le style très flashy et enrobe un univers dantesque. Le bestiaire et les décors sont d’une richesse folle tout en restant très psychédélique.

Ca vous serez venu à l’esprit un mamouth cyclope ?

Quant à la musique, elle est démentielle. Elle est culte et pour tous les fans de GameOne, la musique vous rappellera sans doute quelque chose. Non ?! Et si je vous dit « mémoire vive » ?

Bon revenenons sur cette histoire de 3D. En fait de 3D, on devrait plus parler de pseudo 3D. A l’instar du mode 7 de Nintendo. Il s’agit d’astuce de rendu en 3D avec les capacités limités des machines de l’époque en 2D.

Les ennemis  sont en réalité des sprites sur lesquels zooment le moteur tout en effectuant une translation. Pour le décor c’est en fait un damier précalculé dont le système calcule la position et la taille. Bref on a pas de vrai 3D au sens actuel du terme. Mais à l’époque faut avouer ça en jettait méchamment.

Le gameplay était simple, mais carrément nerveux. On se déplaçait et on devait fracasser une touche de tir. En effet pas d’évolution d’armes dans Space Harrier, un seul méga gun et basta !

A chaque ennemis abbatus le score augmentait, mais il n’tait pas indispensable de tout détruire. Le simple fait de progresser faisait augmenter votre score. Le même système se retrouve dans Out Run et After Burner 2.

Un autre point à propos de la légende Space Harrier était sa difficulté. Il fallait en baver et surtout se montrer résistant !  Le nombre de niveaux, une grosse vingtaine et leur longueur rendait le jeu vraiment difficile à terminer.

Le succès du jeu a été tel qu’il a été rapidement porté sur beaucoup de plateformes, comme: 32X, Amiga, Amstrad CPC, Atari ST, Commodore C64, Game Gear, Master System, NES, PC Engine, Saturn, Sharp X68000, Sinclair ZX Spectrum…

Malgrés la vingtaine d’années, j’ai récemment rejouer à Space Harrier et il reste vraiment fun et rigolo. Sa musique et ses graphismes sont à la source de sa personnalité. Un jeu mythique que vous devriez prendre le temps de découvrir.

juin 16, 2009

Shy Dwarf (Plachy Trpaslik)

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

Shy Dwarf

Etrange, poétique et enigmatique Shy Dwarf  attise la curiosité. Créé par Jaromir Plachy du studio Amanita Design (Samorost), c’est un petit lutin noir et un chapeau rouge que vous allez aider dans une quête vers le repos.

Vous êtes là, dans un univers vierge où vous devrez trouvez un moyen pour passer à un autre tableau. Mais résumer Shy Dwarf serait réducteur. Conte bizarre, c’est un rêve interactif qu’on vous propose. Ne cherchez pas de logique, laissez vousporter pendant les quelques minutes de cette aventure psychédélique.

Les contrôles sont aussi perturbant. Ils ne sont pas fluides et les capacités de votre petit personnage, changeront à chaque niveau. Défauts ou volonté de l’auteur, notre coeur balance. Accordons lui le bénéfice du doute.

Shy Dwarf sera le moment de fantaisie et de légerté  de votre journée d’aujourd’hui.

Rêver et jouer à Shy Dwarf.

juin 12, 2009

Starcom

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , , , , ,

Starcom

Si Starcom était une série, la première réplique serait sans doute : « Bonjour Commodore, votre vaisseau est prêt à atomiser les forces aliens, n’oubliez pas vous êtes notre dernière chance ! »

Starcom est un jeu de shoot, avec de la stratégie et même un zeste de RPG, le tout en vue de dessus. Vous êtes le commandant d’un vaisseau stationné dans une Galatic Command Starbase (une station orbitale).

Le déplacement du vaisseau se font avec les touches [WASD] et les touches fléchées. Les tirs de votre canon se gèrent à la souris et pointe en direction de votre curseur, très pratique. Une deuxième classe d’armes existe : les missiles, le lance missile se déclenche grâce à la touche [ESPACE].

Les contrôles sont basiques et l’inertie du vaisseau rend plutôt bien, même s’il décélère un peu vite à mon goût. Un petit bug sur le contrôles avec les touches fléchées apparaît aléatoirement, elles se désactivent et on doit repasser par la gymnastique des lettres… Un peu moyen tout de même.

L’aventure est vaste, les missions variées et le tout sur une musique épique et vraiment magnifique. C’est la grosse claque à ce niveau. L’ambiance et les effets sonores sont haut de gamme. Esthétiquement le jeu est également réussi, même si les premiers niveaux sont un peu vide. Un format également plus large aurait été intéressant, en superposant le radar avec un effet de transparence.

Quant au menu de gestion du vaisseau, je les ai trouvé un peu en décalage avec le reste. Ils sont moyen, et les items ne sont pas représenté, c’est dommage.

Mon bilan plutôt mitigé sur le rendu graphique du jeu. Mais sur le reste, je suis fan !

L’histoire est bien ficelé, et vous allez passer un bon moment avec Starcom. Les items sont nombreux et sont vraiment cool, par exemple le module « Jump Drive », qui vous permet de vous téléporter sur de longue distance, topissime 🙂

Certains joueurs auront en horreur de devoir faire des aller-retour avec la base, moi j’aime bien, celà donne une dimension un peu réaliste, dans ce jeu toute somme assez arcade.

Le jeu prend 2 voir 3 heures pour être bouclé, ce qui est une très bonne durée de vie. Mai quand la fin arrive on reste sur sa faim, on en veut encore ! On s’écrit, vivement la suite ! Et c’est cette petite chose qui me fait dire que vous aussi vous adorerez Starcom.

En route Commodore pour jouer à Starcom ! C’est un ordre !

juin 11, 2009

Scary Girl la version finale

Author: Thierry S. - Categories: Actualité, Jeux - Tags: , , , , , ,

Scary Girl

Je vous avais parlé de Scary Girl en Avril,  pour rappel :

Scary Girl est un excellent jeu d’aventure et de plateforme produit par Passion Pictures Australia, Touchmypixel, Renmotion et Film Victoria sous la direction artistique et conceptuel de Nathan Jurevicius.

Vous y incarnez une petite fille dans un de ses délires d’imagination. Elle évolue dans un monde imaginaire accompagné de Blister, une pieuvre qui fait office d’ange gardien.

Eh bien à l’poque c’était un peu buggy, et le gameplay était un peu mou du genou. Désormais publié de manière officiel, beaucoup de bugs ont été corrigé, mais les contrôles reste un peu plat et imprécis. Mais ce n’est que du détail tant l’expérience du joueur est grande.

Allé mes petits amis, allez vous amuser/rêver avec Scary Girl.

Jouer à Scary Girl

juin 9, 2009

The pretender : part one

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , , , , , , , ,

The Pretender : part one

Sous la houlette de Time Knauf et Tristan Clark et des graphismes de Vin Rowe, le studio Launching Pad nous propose un superbe jeu de réflexion.

Le jeu est encore en développement, il s’agit d’une version bêta du jeu. Quelques bugs subsistent, mais à mon sens c’est déjà jouable et prêt à être mis sous les feux de la rampe.

On incarne donc un magicien en pleine Angleterre Victorienne. Pendant un show, il se lance dans une incantation spectaculaire : l’ouverture d’une porte vers un monde paralèlle. Mais tout se passe mal et tous vos spectateurs sont aspirés dans cette dimension paralèlle et transformés en fantômes… Bravo l’artiste ! Votre quête consiste à les récupérer tous. Voilà pour l’histoire, qui a le mérite d’être un poil original.

L’ensemble des graphismes reprenne un style très art déco, et sont vraiment superbement réalisés. Mais le jeu ne brille pas que par ses graphismes. La musique et les effets sonores sont vraiment sympathiques et finement dosés.

Durant chaque tableau vous devrez rramener chaque fantôme dans notre dimension. On découvre rapidement que notre magicien n’est pas sorti indemne de sa téléportation. Au contact de certaines pierres magiques, il se transforme et prend pocession des pouvoirs de l’air ou de la terre.

Avec les pouvois de l’air vous devenez transparent et léger comme … l’air. Vous pouvez également lancer des bourasque de vent. Avec la terre, vous devenez une sorte de Golem ultra balèze qui peut fracasser n’importe quel obstacle sur son passage.

Vous devrez donc au grès des tableaux, réussir à atteindre tous les malheureux spectateurs, en usant de vos nouveau pouvoir tout en trouvant la bonne combinaison d’action (un bouton restart est prêt en cas de besoin).

La jeu a été conçu pour être accessible et la difficulté est savament dosée pour que franchir les niveaux soient un réel plaisir. Même si ça reste un peu simple pour des joueurs plus avertis., ce jeu est une réussite. Ce qui est intéressant est l’insertion de dialogue, celà donne une profondeur au mode histoire, qui pour une fois ne se limite pas à une excuse pour vous coller une succession de niveaux.

The pretender : Part One, sera une saga riche et plaisante. Son scénario laisse libre cours à l’imagination et permet d’entrevoir des déclinaison de ce premier opus plus étranges et d’avantage capilotractées ou pas 🙂 Vivement la suite !

Jouer à The Pretender: Part One!

juin 8, 2009

Vector Boom

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , , , , ,

Vector Boom

Si l’espace est synonyme de silence, calme et immensité et bien Vector Boom d’Hero Intercative va vous prouver le contraire.

Ce tower defense, prend place dans l’univers et vous devrez faire face à des hordes d’ennemis. Votre station orbital armée d’un méga canon et par la suite de tourelles, ferons feu de toute part.

Pas très novateur dans le concept, le jeu brille par son gameplay. Via un système de clic maintenu, vous pourrez tracer la zone de dévastation de vos impulsions électro-magnétiques.

Plus la zone est grande plus le tir consommera d’énergie. C’est un système très agréable et ergonomique pour shooter soit rapidement des petits ennemis soit détruire une vague complète de vaisseaux.

Tout le coeur de la stratégie est là. Il faut bien doser la puissance de vos tirs pour ne pas se retrouver les batteries à plats et manger du missile à tout va. Comme toujours dans ce type de jeu, plus on atomise avec précision, plus on amasse d’argent pour améliorer sa station.

Le jeu est sympathique mais les premiers niveaux vraiment trop simples. Le challenge met un peu de temps à s’installer. C’ets dommage car demander à un joueur de persévérer pour s’amuser, n’est pas une très bonen stratégie. Et puis les joueurs un peu mauvais (comme moi),  risque de ne pas comprendre cette soudaine augmentation dans la difficulté.

Jouer à Vector Boom.

juin 5, 2009

Go Home Ball

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

Go Home Ball

Bon c’est la grande mode des jeux de physique où on doit se tordre les méninges pour monter un truc bidule tout complexe capilotracté. Et vous en avez un peu marre de ces jeux, et bien Go Home Ball est un jeu de gestion physique, mais allégé en sucre !

Oui mon bon monsieur, là le ciricuit est tout tracé, il « suffit » de placer des objets (rondins, trmpoline), pour faire rouler la boule rouge jusqu’à l’arrivé jusqu’à l’arrivé et en récoltant toutes les étoiles.  C’est une sorte de jeux de gestion physique avec des trous à remplir 🙂

Le design mignon, la petite musique et tout, on se croirait dans un jeu pour mamie fan de Wii Bowling. Et bien non, ce jeu est juste super difficile.

  1. les objets qui bouche les trous ont une durée de vie de quelques secondes,
  2. vous ne pouvez avoir qu’un objet à la fois,
  3. les réactions de balle sont capricieuses ,
  4. un gameplay un peu lourd,
  5. les niveaux deviennent carrément complexe (meurt niveau 8, meurt !),
  6. il y’a un compte à rebours à chaque noveau,
  7. si vous n’avez plus de point vous recommencez le niveau…

Bref autant  de points qui rendent le jeu compliqué d’accès et qui nécessite d’avoir de très bons réflexes.

Je vas d’abord parler du gameplay. Je trouve absurde de devoir switcher de la souris, au clavier. Encore pour la rotation c’est bien vue, mais pour déclencher le ressort… Je suis moins fan. Bon les goûts et les couleurs, mais là c’est quand même un peu lourdingue.

Deuxième grief, les réactions de la balle sont étranges… Par exemple quand vous pousser la balle avec la main, et bien quand elle est arrêtée, elle est figée au sol… Quand elle cogne un obstacle, elle ne rebondit pas… Bref ça fait un peu tâche.

Cependant reconnaissons à ce jeu, une vrai volonté d’apporter un nouveau système de gestion des réactions physiques. Go Home Ball ravira sans doute les joueurs les plus agile, mais fera certainement enragé le plus grand nombre, c’est peut être là tout l’intérêt.

Jouer à Go Home Ball

juin 4, 2009

Plumet

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

Plumet

Plumet fait parti de ces jeux tout con et pourtant si attachant. Je l’ai découvert aux hasard de mon butinage quotidien et j’ai accroché de suite.

Je ne sais pas trop comment l’expliquer. Plumet charme dans ses détails qui montrent bien que derrière un gameplay rudimentaire (descendre le plus vite possible des plateformes sans se faire écraser) il y’a eu un vrai soin dans la réalisation.

Oui c’est de qualité même si le jeu paraît ridicule. En premier la bande son est un loop dance rythmé et kitch qui entraîne et apporte une ambiance rigolote.

Ensuite l’animation du personnage est complète et réactive.Il cours, s’arrête, agite les bras quand il tombe longtemps. Les contrôles sont rapides et bien fait, on s’éclate tout de suite.

La difficulté est réellement bien gérée malgré un système de tirage aléatoire des plateformes. On a toujours la même progression. Ce qui est agréable pour revenir au jeu pour améliorer son score.

Plumet c’est un petit jeu pour la pause café, à partager avec ses potes ou ses collègues de bureau. J’ai déjà réussi à pourrir la journées de mes collègues et vous ?

Jouer à Plumet.