Jouer-Online Blog

Le monde du jeu en ligne
mai 29, 2009

Chup

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , ,

Chup

Vous rêvez de devenir un barile en métal et vivre d’incroyable aventure ?  Hum moi non plus et pourtant c’est ce que nous propose Chup.

Chup est un jeu de plateforme au look très rétro, on le croirait sorti directement d’un Atari ST. On pourrait en dire qu’il est une sorte de retour vers la pointe de l’avenir du futur du jeu de plateforme. (Je devais placer cette expression, pari stupide quand tu nous tiens).

Pour faire évoluer le personnage au gré des niveaux, on dispose de deux type de contrôles. Première les mouvements, on se déplace grâce au classique [WASD] ou [touches fléchées]. Deuxièment les sauts, ils sont contrôlés grâce à la souris. Dans un premier temps on maintient le bouton gauche enfoncé. Une courbe s’affiche et on peut ainsi définir l’angle et la distance du saut en déplaçant le pointeur.

Ce contrôle du saut est judicieux. En effet, on doit rapidement utiliser les rebonds contre les rebords et cette grande précision dans le saut, apporte un confort non négligeable pour le franchissement des plateformes.

Pour gonfler votre score, il faudra récolter rapidement le maximum de pièces en un minimum de temps et en un minimum de sauts. Mais ça c’est valable uniquement si vous réussissez à atteindre l’espèce de portail de téléportation vert entre les niveaux.

Passé les 4 premiers niveau, la difficulté devient importante sans pour autant rendre le jeu impossible à achever (oui dans la vidéo je passe pas le niveau 5 et alors ? :p). Le jeu donne vraiment du fil à retordre et frustre juste ce qu’il faut le joueur pour le titiller dans sa fierté.  Et c’est là sans doute sa qualité. Chup reprend au rétrogaming son graphisme et surtout la pureté du gameplay.

Chup c’est une expérience unique de plateforme, à tester et à apprécier à sa juste valeur.

Chuper, hum,  Jouer à Chup.

mai 25, 2009

Fathom

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , ,

Fathom

Les petits mecs qui ont conçu Gravity Hook nous ont concocté un jeu de plateforme plutôt spécial.

Au départ on se retrouve dans une sorte de base souterraine à choutter tout ce qui bouge en récoltant des boulons… Sans autres explications on se retrouve face à un méga boss et c’est parti pour la brasse coulée.

Je n’ai toujours pas réussi à finir le jeu, la seule fin à laquelle j’ai eu le droit est une sorte de grande lumière blanche et « pof » la mort.

Je n’ai pas tout compris mais ce jeu me fascine et j’ai bien l’intention de comprendre comment le terminer. Graphiquement superbe et doté d’un gameplay efficace : on dirige le mini soldat avec les touches fléchées et on interagit avec Z  et X, Fathom fait du bien dans un paysage ludique parfois trop stéréotypé.

La musique sous l’eau est magnifique et vraiment hypnotique. Et puis en ces temps de fortes chaleurs (ça va pas durer 😉 ) un petit coup d’abysse sombre et froide ça fait du bien.

Mystérieux et rigolo, le jeu nous captive dans tout ses petits détails et sa difficulté à l’appréhender.  C’est là que réside tout l’intérêt et la magie de ce jeu de plateforme.

Jouer à Fathom.

mai 4, 2009

Paper Moon

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , , , ,

Paper Moon

A la croisée des genres Paper Moon est un de ses comptes vidéo-ludiques maginfique et envoutant. FlashBang Studios (Blush), Infinite  Ali et Adam Saltsman ont oeuvré pour nous embarquer dans une romance entre un jeune garçon et la Lune.

Notre petit héros, dont on ne connaît pas le nom, se déplace et saute via les touches fléchées. A la manière d’un Paper Mario, vous pourrez déplacer des éléments du décors de l’arrière plan vers l’avant plan et vis versa grâce à la touche [espace].

L’univers en noir et blanc, rappel les magnfiiques oeuvres de Tim Burton.  Les graphisme sont d’une finesse et d’une simplicité effarante. Le même style un peu BD de Paper Mario s’en ressort mais avec plus de poésie et d’effrayante mélancolie.

Paper Moon est donc un jeu de plateforme un peu spécial. Eh oui! Vous ne pourrez pas tuer vos ennemis. Il faudra les éviter en faisant appel au pouvoir de la touche [espace]. Votre progression est sauvegardée et symbolisée par des petits drapeaux. Il n’y a pas de système de vie, chaque fois qu’un ennemi aura votre peau, vous revenez à la vie, au dernier drapeau. Votre véritable ennemi ne sera pas le bestiaire grouillant et volant, mais le temps. TIC TAC TIC TAC !

Sur votre chemin, vous collectez des fruits. Les combos que vous réalisez, font grimper votre score. Concernant le temps, il y’a des petites pendules qui augmentent la durée du compte à rebours.

Paper Moon semble simpliste avec son gameplay en 2D. Mais détrompez vous, vous y reviendrez sans cesse, les niveaux sont truffés de passages alternatifs et son charme unique vous envoutera. Le jeu se montre rapidement délicat, réflexe et dextérité ne seront pas de trop.

Personnellement j’ai eu du mal à me faire aux touches, trop souvent j’appuie sur [espace] pour sauter. Ce qui explique ma très mauvaise performance dans la vidéo. Ah! Pour les « techos » de mon tout petit lectorat, c’est un jeu basé sur Unity 3D.

Il n’en reste que Paper Moon est un jeu raffiné qui donnera à votre début de semaine un peu de merveilleux et beaucoup d’amusemement.

Jouer à Paper Moon.

avril 21, 2009

Scary Girl

Author: Thibault W. - Categories: Jeux - Tags: , , , , , ,

Scary Girl

Scary Girl est un excellent jeu d’aventure et de plateforme produit par Passion Pictures Australia, Touchmypixel, Renmotion et Film Victoria sous la direction artistique et conceptuel de Nathan Jurevicius.

Vous y incarnez une petite fille dans un de ses délires d’imagination. Elle évolue dans un monde imaginaire accompagné de Blister, une pieuvre qui fait office d’ange gardien.

Les graphismes sont très beaux et nous donne l’impression de jouer dans un dessin animé. Cette sensation est renforcée par une cinématique de très haute qualité. L’univers est un mixe entre Beetlejuice et l’Etrange Noel de Monsieur Jack.

Toutefois le jeu n’est pas econre totalement finalisé, il souffre de quelques petits bugs. Ce qui expliquee la molesse (par moment) de son gameplay même si il reste accessible :

  • pour sauter : flèche du haut,
  • pour se baisser : flèche du bas,
  • pour se diriger : flèche gauche/droite,
  • et pour se défendre et activer : barre ESPACE.

Le jeu vous propose une aventure ubuesque, vaste et diantrement fascinante. C’est un des plus beau et ambitieu projet disponible actuellement en ligne.

Jouer à Scary Girl

avril 17, 2009

Final Ninja Zero

Author: Thibault W. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

Final Ninja Zero

Fin de semaine Nitrome puisqu’après l’article sur Rustyard (hier), ce matin on vous propose Final Ninja Zero.

L’action nous mène 40 ans avant les évènements de Final Ninja (voir notre article dessus). Final Ninja Zero retrace l’histoire de notre héros Takeshi avant la vendetta contre son maître Akuma. A ce moment là, il travaille comme mercenaire pour le compte d’une puissante organisation. C’est au cours de cette mission qu’il se trouve emprisonné dans son cyborg.

Avec ce nouvel opus, Nitrome poursuit sa lancé de créateur de jeux de qualité et trouve dans la saga Final Ninja de quoi s’assurer un bel avenir dans l’univers du jeu flash.

Jouer à Final Ninja Zero

avril 13, 2009

Jumping Rabbit

Author: Thibault W. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

header_jumping_rabbit

Jumping rabbit est un jeu de plateforme dans lequel vous incarnez un petit lapin blanc.

Dans ce jeu vous devez aider un lapin à aller le plus haut possible. Vous obtenez des points pour chaque étage que vous atteignez. Cela semble facile au départ, mais plus on avance, plus cela devient difficile. De nombreux ennemis tenteront de vous stopper dans votre ascension. Le mieux pour les éviter est de sauter plusieurs étages d’un coup.

Les graphismes sont très sympas (et on dit pas ça parce que c’est un jeu ZeBest-3000) et l’ambiance sonore colle assez bien avec l’univers décalé du jeu.

Le gameplay est très simple : pour sautez vous devez maintenir le clic gauche appuyé. Pour sauter plus haut, il suffit de maintenir votre doigt sur la souris un peu plus longtemps, une jauge sur la droite vous indique votre force de saut.

Nous sommes fier de cette première réalisation que nous avons réalisée en collaboration avec Jérémie Klemke.

Jouer à Jumping Rabbit

mars 24, 2009

Gravibounce

Author: Thibault W. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

Gravibounce le jeux qui fait JUMP JUMP AROUND

Gravibounce est un jeu de plate-forme qui mêle à la fois agilité et réflexion.

Dans ce jeu, vous dirigez boule attirée par de multiples champs magnétiques. Votre objectif est de récolter toutes les petites sphères d’énergie pour passer au niveau supérieur.

Vous contrôlez votre balle à l’aide des touches WASD ou des touches fléchées.

  • Une flèche simple pour un petit bond,
  • une flèche double pour exécuter un gros bond.

Votre environnement agit aussi sur vous déplacements. Ainsi, le halo lumineux vous permettra de réaliser une inversion gravitationnelle.

Attention, si vous tombez au-delà des plate-formes vous perdez la partie. Là où ce jeu ce démarque, c’est certainement dans le fait que le plus petit mouvement compte… Vous devrez donc faire preuve de beaucoup de patience.

A chaque rebond vous perdez des points il faut donc agir efficacement pour être bien classé. C’est dans tout ces petits détails qui font de Gravibounce un jeu amusant auquel on revient régulièrement. Graphiquement propre et sympathique, il exploite à fond sa mixité plateforme/puzzle.

Jouer à Gravibounce

mars 23, 2009

Halo Zero

Author: Thibault W. - Categories: Jeux - Tags: , , , ,

Halo zero, l'épisode réalisé par les fans de Halo en 2D

Avis aux fans du jeu Halo de Microsoft : Halo, des fans ont sortis dernièrement une version 2D reprenant l’univers du jeu avec un côté assez old-school. Comme son nom l’indique, le jeu retrace l’histoire du Master Chief avant le premier épisode.

Halo Zero mêle avec habilité plateforme et shoot them up. En gros, tout ce qu’il y a de plus classique mais le jeu se démarque rapidement avec une grande variété de niveaux et des personnages très bien faits.

Au niveau du gameplay, il n’y a pas de difficultés apparentes. Vous déplacez le Master Chief au clavier, et vous visez et tirez avec la souris. Vous pouvez ainsi tirer en avant tout en reculant !

On reste proche de l’univers Halo tel qu’on le connaissait jusqu’à là sur console. Les personnages sont réussis, l’animation est relativement fluide et les bruitages sont fidèles à l’univers du jeu. De plus, le jeu offre la possibilité de jouer à deux en ligne ! C’est une très jolie réalisation qui honore une fois de plus la créativité de la communauté Halo.

Le jeu est à télécharger et n’a l’air disponible que pour les plateformes windows. Microsoft quand tu nous tiens 😉

Ressources en ligne

mars 18, 2009

Flashback: The Quest for Identity

Author: Thierry S. - Categories: L'instant rétro - Tags: , , , , , , , , ,

Flashback: The quest for Identity

Réalisé par Delphine Software en 1992, Flashback s’est de suite imposé comme LA référence du jeu d’action/aventure. Fort d’un scénario et d’une réalisation impeccable, il a conquit les joueurs du monde entier.

Le jeu s’inspire du gameplay de Prince of persia transposé dans un monde futriste. Il reprend l’affichage 2d de profil et un rendu réaliste des mouvements.  La scénarisation de l’action et l’insertion de cinématiques inscrivent Flashback directement dans la lignée d’Another World (lui aussi réalisé par Delphine Software).

Le jeu a été diffusé sur Mega Drive (surtout), Super Nintendo, Amiga, PC-DOS et Mega-CD. Dans ces deux dernières on a le droit à des cinématiques plus jolies, des voies dans le jeu et des musiques de meilleures qualités.

A noter que Flashback a été pendant un certains temps le jeu vidéo français le plus vendu dans le monde. Des lapins débiles l’ont détrônés depuis. Mais ça c’est une autre histoire 😉

Histoire

En 2142, le joueur incarne un chercheur Conrad B. Hart, qui découvre l’existence d’entités extra-terrestres infiltrées au sein de la population. Ces dernières le kidnappent et lui effacent la mémoire ; il réussit malgré tout à s’enfuir mais atterrit en catastrophe sur un satellite de Saturne, Titan.

Le jeu commence à ce moment, où le joueur doit affronter les dangers de la jungle. Il doit tout faire pour déjouer ce complot planétaire.

Source Wikipedia

Gameplay

On vous parle d’un temps où la folie de la 3D n’existait pas encore (ou très peu). La 2D de profile était le standard absolu depuis Donkey Kong en passant par Mario et autres hérisson bleu.

Flashback s’inscrit donc dans cette catégorie de jeu. Mais il se distinguait par la gestion des contrôles du personnage. Là où Mario ou Sonic était clairement typé arcade avec des réactions rapides, Conrad réagissait avec réalisme. Les sauts étaient par exemple marqué par un temps de latence , lorsque vous couriez votre arrêt n’était pas immédiat. La jouabilité était exceptionnelle, le panel de mouvements riche : marcher, courrir, sauter, s’accroupir, faire des roulades, utiliser des objets sur la scène et de son inventaire, sortir un pistolet, faire feu…

Flashback demandait beaucoup de réflexion, votre personnage n’est pas armé comme une bête de guerre. Il fallait ruser et utiliser l’effet de surprise. L’intelligence des ennemis était poussée pour l’époque. Lorsque vous jetiez un caillou, un gardien s’en rendait compte et se dirigeait vers la source du « bruit ». Vous pouviez ainsi le surprendre et l’abattre.

Vous remarquerez d’ailleur dans la vidéo que je me suis un peu perdu dès le premier tableau. Saleté de sentinelles 🙁

Celà m’amène à vous parler des sauvegardes. Bon c’est une mega drive et à l’époque la sauvegarde c’est pour les faibles du paddle. On ne pouvait pas enregistrer quand on le voulait. Au mileu d’un niveau ou avant une séquence délicate on avait des terminaux qui permettaient de stocker sa position dans le jeu. Mais cette position était détruite lors de l’extinction de la console… Ah ah dommage 😉

En revanche, on avait le droit au début de chaque niveau à un code. Ce qui permettait de reprendre sa partie au début d’un niveau donné. Les codes variaient en fonction de la difficulté et de la langue sélectionnées.

 

Mon avis

Encore aujourd’hui Flashback malgrès ces 17 ans, détrône bon nombre de jeux de plateforme (même nextgen), tant son scénario est captivant. Son gameplay et ses graphismes rétro, restent au goût du jour. Flashback est une aventure unique que tout gamer devrait avoir vécue. L’ambiance cyberpub sur fond de conspiration gouvernementale propose une dystopia d’une société futur probable. On rescent clairement les influences Blade Runner.

J’étais à peine ado quand j’ai joué pour la première fois à ce jeux. Il m’a captivé et j’en garde un souvenir marquant. Plus que les première parties dans le noir de Resident Evil. C’était un jeu à la difficulté très bien gérer, qui avait une durée de vie longue. C’était le premier jeu où je me suis réellement fait embarquer dans une aventure vidéoludique immersive et forte. Ce scénario m’a ouvert l’esprit vers les créations cyberpunks de l’époque.

« Fade to black » sortie en 1995 est la suite de Flashback. Malgré des avancés techniques comme l’introduction de 3D vectoriel et de  rendu en raycasting, cette épisode se démarquait trop du premier. Les critiques lui repreochèrent ces changements et cette fracture avec le premier épisode.

Flashback fait parti de ces jeux qu’il convient peut être de laisser sans suite, au risque d’être déçu. Je regrette personnellement qu’aucun acteur ne pense à reprendre cette licence en respectant le gameplay de l’époque mais surtout la profondeur scénaristique.

Ressources


mars 11, 2009

Alex Kidd, le héros oublié de Sega.

Author: Thierry S. - Categories: Jeux, L'instant rétro - Tags: , , , , , , , ,

Alex Kidd sur Jouer Online

Alex Kidd ça rime avec le début de la guerre des consoles SEGA vs Nintendo. Sorti sur Master System en 1986, Alex Kidd devient la mascotte de Sega. Mais l’arrivée d’une autre star plus jeune et plus cool, le vaillant Sonic, a clairement ringardisé notre pauvre ami.

C’est vrai qu’avec son jogging rouge (hey t’as pas 10 francs ?), ses rouflaquettes, ses oreilles décollées et sa face simiesque Alex n’était pas ultra sexy. Et puis ses grosses mains ne lui servaient qu’à distribuer des gnions à ses ennemis, pas facile de draguer avec tout ça. Même un plombier moustachu aurait un look plus cool 😉

La réputation d’Alex Kidd tient surtout au cultissime « Alex Kidd in Miracle World« .  D’abord commercialisé en format boite sur la Master System, il a été ensuite intégré directement dans la ROM de la MS2. Chaque tableau était composé d’une séquence de plateforme puis d’un boss qu’il fallait souvent vaincre en jouant au janken (pierre-papier-ciseaux).

Voici le pitch d’introduction du jeu :

Dans le pays de Raxadian, Janken le Grand fait régner la terreur. Prince du royaume, Alex Kidd décide de partir lutter contre lui afin de sauver son peuple mais aussi son frère.

Il était possible de donner des coups de poings pour vaincre les ennemis, de sauter, d’acheter et d’utiliser des objets qui facilitaient la progression du joueur. Par exemple on pouvait obtenir une moto qui permet de faire une petite partie du jeu à toute vitesse, un hors-bord ou encore un hélicoptère à pédale !

Pour terminer un niveau, il fallait récupérer le gateau de riz pour les premières versions  ou le  hamburger pour les versions de la MS2. L’aventure était composée de 16 niveaux originaux et proposant à chaque fois un challenge plus relevé.

Ce jeu était très difficile et même, à certains endroit, sadique (SEGA c’était vraiment plus fort que toi !). Il m’a fallu près de 2 ans pour en venir à bout…

Celà s’explique par :

  • l’absence de système de sauvegarde, le game over entraîne le retour à la case départ,
  • l’absence de système de santé, on se fait toucher on meurt,
  • on perd au janken, on meurt
  • des pièges de fous, qui se souvient de ce foutu code et de ce piège planqué dans le décor ?
  • la jouabilité moyenne, le personnage réagissait lentement et manquait de précision.

Alex Kidd c’est du jeu old school à tous les points de vues !

Néanmoins pour l’époque, les graphismes et la musique étaient très réussis. Même aujourd’hui, le jeu n’a pas à rougir de certaines production de jeu en flash. La musique était super entrainante et le design haut en couleur.

Je m’excuse pour la mauvaise qualité de la vidéo, mais c’est loin d’être évident de récupérer les flux vidéos issu d’un émulateur. Il s’agit des séquences de démo du jeu, je ne pouvais pas filmer et jouer en même temps…

Alex Kidd fut mis en scène dans d’autres productions :

Notre petit héros a eu son heure de gloire avec la Master System, mais tira sa révérence avec elle. Son look trop kitch et la venu du hérisson bleu l’on mis définitivement au placard. Dommage car la licence avaient des titres de qualité et  reconnus par les joueurs.

Quelques ressources en lignes