Jouer-Online Blog

Le monde du jeu en ligne
juillet 21, 2009

Moonlights

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , ,

Moonlights

« C’est un petit pas pour le goo, mais un bon de géant pour le peuple goo ». Okay elle était nulle ma vanne sur le 40ème anniversaire de l’allunissage de la mission Apollo 11, mais on fait ce qu’on peut avec ce que l’on a.

Et lorsque qu’on est un boulette accro à la Lune et bien on cherche ses copines et on grimpe. On grimpe jusqu’à la décrocher. Voilà qui résume bien le concept de Moonlights 🙂

Clairement inspiré par le légendaire World of Goo, Moonlights nous propose une nouvelle approche. Sans vouloir le concurrencer, la comparaison est naturelle et délicate.

Essayons d’être objectif, World of Goo n’est pas un jeu dans le navigateur, il s’affranchit de beaucoup de limitations auquelles est soumis Moonlights. D’un point de vue estéhtique, la musique est dans le ton lunaire et enchanteresque. Les graphismes sont sobres et l’effets de particules très réussi. A mon sens, c’est un peu trop lisse et proprounet, le tout manque de charisme et de gouaille.

Niveau physique le moteur rend bien, même si les association entre goo (dans de petits espaces) sont un peu difficiles. Mais ces petits ratés ne sont pas gênants et on arrive à une qualité proche de celle de World of Goo. Même si les structures manquent un peu de souplesse.

Moonlights innove et propose de nouvelles pistes pour le genre gooesque. Il est par exemple possible de supprimer des boules, afin de ramper au sol par exemple. Les surfaces sont réactives. Certaines sont adhésives et illuminent vos goos. D’autres les tuent en toute simplicité. La richesse des surfaces est intéressantes, car combinée aux type de goo, la stratégie prend en profondeur et les scenarii des tableaux deviennent plus piquants 🙂

Le moteur vous signale les segments soumis à une charge excessive en les colorants de rouge. C’est vraiment bien vu. On imagine très bien ce moteur dans un jeu plus sérieux de conceptions de super structures.

Là où World of Goo s’appuyait sur la narration d’une aventure épique et une personnalité forte. Moonlights s’appuie sur une gameplay plus subtile, des tableaux plus variés et un moteur fourmillant de petits détails.

En définitive, Moonlights réussi à se démarquer et à se forger sa propre identité face au Tenor du genre. Mais il lui manque la personnalité et le mordant pour devenir un incontournable. Monnlights a cependant toutes les cartes pour faire du bruit sur iphone. Il s’agit là d’un marché où sa sobrieté graphique paieront d’avantage que sur le marché du jeu flash.

Jouer à Moonlights

juin 26, 2009

Castle Corp

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , ,

Castle Corp

Bon les mecs de chez Nitrome, ils se sont lâchés, 2 jeux en 3 jours ça fait beaucoup beaucoup hein ! Maintenant on sait pourquoi ils faisaient les morts.

Avant Hier avec  Double Edged (prononcez DOUUUUUBLE EEEEEEEDGED), aujourd’hui ils nous propose un Lemmings Like délirant.

Dans Castle Corp vous êtes à la solde d’une entreprise de fournitures d’accessoires de guerroierie pour Chevaliers et les Seigneurs du monde entier. Mais c’est la crise, un concurrent féroce qui fait des prix de fous, vous pourri la vie. La firme décide donc d’aller boutter cet indigent à grand renfort de chevaliers d’élites !

A chaque début de tableau vous avez un nombre limité de chevaliers qui vont devoir aller taper un nombre défini d’ennemis. En récoltant de l’or vous pourrez les équiper avec des armes, ce qui leur donnera des capacités propres.

Le chevalier suit le chemin, et peut s’ejecter en l’air pour faire un maximum de dégât. Je vous propose une vidéo, car le gameplay est vraiment fourni.

Pour le résumer je dirais que c’est comme un lemings, seulement les unités tabassent tout ce qui passe à leur porté et savent s’envoyer en l’air 🙂

Le jeu est vraiment rigolo et revient dans le genre plus classique de Nitrome : le puzzle game. C’est une reprise intéressante de Lemmings. La difficulté est là et le challenge est à la hauteur de sa seigneurie.

Côté musique c’est toujours niquel, idem sur la réalisation. C’est du Nitrome et on adore.

Allé zou en selle, jouer à Castle Corp.

juin 25, 2009

Phage Wars 2

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , , , ,

Phage Wars 2

Les films de pandémies mondiales m’ont toujours fasciné, la génétique aussi et le cauchemar Frankenstein aussi. J’aurai aimé devenir un grand savant capable de manipuler toute sorte de bestioles pour dominer le MONDE ! AH AH AH (rire diabolique).

Bon on resaisit, Phage Wars est un jeu de chez nos amis Armorgames. Il nous propose une simulation de manipulations génétique, afin de créer un méga virus uuuultra agressif ! Dans quel but ? On ne sait pas bien et à vrai dire on s’en fout.

Il s’agit d’une suite du premier opus et introduit de nombreuses améliorations. L’IA est plus agressive que jamais, on peut maintenant personnaliser son virus très simplement en sont un enchantillon.

Le jeu est très immersif. Sa présentation sous forme d’un système d’exploitation (OS) donne l’impression d’être un généticien à l’oeuvre. On ouvre la boîte de Pandore c’est magique et fantastique, tout celà donne le tourni.

L’OS fournit une documentation sous la forme d’un fichier text, il va falloir le lire. Il est très instructifs à propos des combos de touches et les configuration à employer pour créer un véritable monstre microscopique.

Mais le must reste le plaisir d’appuyer sur « RUN THE EXPERIMENT ». Là tout bascule, on contrôle son virus via la souris et il faut bouffer les autres le plus vite possible en contaminant toutes le celulles du tableau. Dès le début la difficulté est là, il va falloir vous remuer, ça va vite très vite !

Quel plaisir de voir sa création semer le chaos et la désolation ! MOUHAHAHAHA (hmpf…)

Certains râlent à propos  de l’esthétique du jeu, moi je la trouve fantastique. On s’y croirait presque, j’adore. Encore une fois  Joey Betz (Crush the Castle) nous sert une vraie merveille. Car il a poussé la simulation jusqu’à vous proposer dans le jeu un analyseur statistiques de vos parties. On y voit de jolis graphiques détaillant les caractériques de votre virus et également sur le déroulement de l’expérience.

Celà pousse encore le réalisme du labo de recherche et c’est vraiment une fonctionnalité clé du jeu. Sans elle tout le travail d’OS virtuel ne serait qu’un moyen de justifier une interface moyenne. Là on essaie de coller à une certaine réalité, une image d’épinal, un Frankenstein numérique.

Phage Wars 2 est un jeu de stratégie survitaminé et qui vous donnera le temps du jeu l’impression d’être un savant fou ! Franky tiens toi bien on va tous les infecter ! H1N1 c’était juste une petite blaguounette 😀

Jouer à Phage Wars 2

juin 18, 2009

Dynamic Systems

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , ,

Dynamic Systems

The Incredible Machine ça vous dit quelquechose ? Non ?

Il s’agit des réactions en chaînes avec des dominos, des allumettes, des boules… Honda en a réalisé une avec les pièces d’une de ses voitures.

Grand enfant dans l’âme, j’adore ce type de jeu. Où la simple petite pichenette du début engendre de grande conséquence 🙂 Mais revenons en à Dynamic Systems.

C’est un jeu publié par King.com, où il faut arriver à faire rejoindre votre bille en métal dans le panier d’arrivée. Chaque tableau vous propose donc un chemin de base avec diverses pièces (qui tournent, qui rebondissent, qui explosent…) et une liste d’items disponibles pour compléter le chemin.

Une grande réussite du jeu est le système de positionnement de ces items complémentaires. Un petit menu s’affiche et vous pourrez aisément controler leur position et leur inclinaison via la souris. Le moteur physique fonctionne très bien et n’a pas à rougir face à la référence Collider. C’est même un peu mieux 🙂

En ce qui concerne le calcul du score, plus le chemin sera long plus il sera gros. De quoi vous donner envie d’utiliser un maximum de pièces et d’avoir le meilleur parcours.Vraiment bien vu !

D’un point de vue esthétique c’est vraiment chouette. Les graphismes et les animations sont travaillés et de très bonnes factures. La musique et les effets sonores sont du même niveau : propres, efficaces et entraînants.

Le rendu final est saisissant, on retrouve le plaisir d’un gamin qui joue avec ses mécanos. Mon petit chouchou ça reste les dominos et le marteau.

La présence d’un éditeur de niveau est également un vrai plus. Celà devient encore plus intéressant de partager ses niveaux avec ses amis 🙂

Pour conclure, Dynamic Systems vient bousculer la donne dans ce type de jeu. Il devient pour moi la référence, et est une excellent base pour de nouvelles déclinaisons. Il est complet, beau et surtout addictif !

Jouer à Dynamic System.

juin 9, 2009

The pretender : part one

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , , , , , , , ,

The Pretender : part one

Sous la houlette de Time Knauf et Tristan Clark et des graphismes de Vin Rowe, le studio Launching Pad nous propose un superbe jeu de réflexion.

Le jeu est encore en développement, il s’agit d’une version bêta du jeu. Quelques bugs subsistent, mais à mon sens c’est déjà jouable et prêt à être mis sous les feux de la rampe.

On incarne donc un magicien en pleine Angleterre Victorienne. Pendant un show, il se lance dans une incantation spectaculaire : l’ouverture d’une porte vers un monde paralèlle. Mais tout se passe mal et tous vos spectateurs sont aspirés dans cette dimension paralèlle et transformés en fantômes… Bravo l’artiste ! Votre quête consiste à les récupérer tous. Voilà pour l’histoire, qui a le mérite d’être un poil original.

L’ensemble des graphismes reprenne un style très art déco, et sont vraiment superbement réalisés. Mais le jeu ne brille pas que par ses graphismes. La musique et les effets sonores sont vraiment sympathiques et finement dosés.

Durant chaque tableau vous devrez rramener chaque fantôme dans notre dimension. On découvre rapidement que notre magicien n’est pas sorti indemne de sa téléportation. Au contact de certaines pierres magiques, il se transforme et prend pocession des pouvoirs de l’air ou de la terre.

Avec les pouvois de l’air vous devenez transparent et léger comme … l’air. Vous pouvez également lancer des bourasque de vent. Avec la terre, vous devenez une sorte de Golem ultra balèze qui peut fracasser n’importe quel obstacle sur son passage.

Vous devrez donc au grès des tableaux, réussir à atteindre tous les malheureux spectateurs, en usant de vos nouveau pouvoir tout en trouvant la bonne combinaison d’action (un bouton restart est prêt en cas de besoin).

La jeu a été conçu pour être accessible et la difficulté est savament dosée pour que franchir les niveaux soient un réel plaisir. Même si ça reste un peu simple pour des joueurs plus avertis., ce jeu est une réussite. Ce qui est intéressant est l’insertion de dialogue, celà donne une profondeur au mode histoire, qui pour une fois ne se limite pas à une excuse pour vous coller une succession de niveaux.

The pretender : Part One, sera une saga riche et plaisante. Son scénario laisse libre cours à l’imagination et permet d’entrevoir des déclinaison de ce premier opus plus étranges et d’avantage capilotractées ou pas 🙂 Vivement la suite !

Jouer à The Pretender: Part One!

juin 5, 2009

Go Home Ball

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

Go Home Ball

Bon c’est la grande mode des jeux de physique où on doit se tordre les méninges pour monter un truc bidule tout complexe capilotracté. Et vous en avez un peu marre de ces jeux, et bien Go Home Ball est un jeu de gestion physique, mais allégé en sucre !

Oui mon bon monsieur, là le ciricuit est tout tracé, il « suffit » de placer des objets (rondins, trmpoline), pour faire rouler la boule rouge jusqu’à l’arrivé jusqu’à l’arrivé et en récoltant toutes les étoiles.  C’est une sorte de jeux de gestion physique avec des trous à remplir 🙂

Le design mignon, la petite musique et tout, on se croirait dans un jeu pour mamie fan de Wii Bowling. Et bien non, ce jeu est juste super difficile.

  1. les objets qui bouche les trous ont une durée de vie de quelques secondes,
  2. vous ne pouvez avoir qu’un objet à la fois,
  3. les réactions de balle sont capricieuses ,
  4. un gameplay un peu lourd,
  5. les niveaux deviennent carrément complexe (meurt niveau 8, meurt !),
  6. il y’a un compte à rebours à chaque noveau,
  7. si vous n’avez plus de point vous recommencez le niveau…

Bref autant  de points qui rendent le jeu compliqué d’accès et qui nécessite d’avoir de très bons réflexes.

Je vas d’abord parler du gameplay. Je trouve absurde de devoir switcher de la souris, au clavier. Encore pour la rotation c’est bien vue, mais pour déclencher le ressort… Je suis moins fan. Bon les goûts et les couleurs, mais là c’est quand même un peu lourdingue.

Deuxième grief, les réactions de la balle sont étranges… Par exemple quand vous pousser la balle avec la main, et bien quand elle est arrêtée, elle est figée au sol… Quand elle cogne un obstacle, elle ne rebondit pas… Bref ça fait un peu tâche.

Cependant reconnaissons à ce jeu, une vrai volonté d’apporter un nouveau système de gestion des réactions physiques. Go Home Ball ravira sans doute les joueurs les plus agile, mais fera certainement enragé le plus grand nombre, c’est peut être là tout l’intérêt.

Jouer à Go Home Ball

juin 2, 2009

ClickPlay!, cliquez avec un doigt !

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

Clickplay

Ninjadoodle revient avec un jeu de réflexes et de rapidité comme on les aime. A l’instar de  Cursor Chaos, le jeu vous propose d’enchaîner à un rythme effrainé  les épreuves.

Cette fois le gameplay se fait entièrement à la souris. Il faudra à chaque fois trouver le moyen de franchir le niveau en faisant le moins de clics possibles. Et c’est vraiment pas facile. La chance aura parfois son mot à dire, mais c’est surtout votre agilité et votre sagacité qui seront vos meilleurs alliés.

Dans la même veine que Hoshi Saga ! mais avec l’esprit de  Cursor Chaos en plus, le jeu est très efficace et addictif dès les premières secondes. Le thème musicale entêtant et obsédant vous motive et vous donne envie de poursuivre. C’est rigolo, frais et pourtant tout en nuance de gris. Comme quoi joie et amusement ne passe pas forcément par l’utilisation d’un design aux couleurs saturées.

D’origine japonaise, et dans un style très épuré ce jeu de réflexion et d’agilité cérébrale et une réussite, vous n’êtes pas prêt de relâcher votre souris de si tôt !

C’est moi où le jeu fait echo à deux célbres licence de Big N. Warioware et WiiPlay ? Enfin bref  je dis ça je dis rien hein 🙂

Toi aussi tu veux cliquer ton butt, va jouer à ClickPlay!


mai 22, 2009

Droplets

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , ,

Droplets

Cosmic Canon qui m’avait laissé un peu froid n’était en fait qu’un moyen de nous faire patienter.

On retrouve dans Droplets tout le savoir faire Nitrome. Musique, graphisme et surtout gameplay super amusant et appétissant.

Dasn droplets on doit faire tomber des petites bestioles (le droplet) sur des zones. Chaque zone vous donne un certains nombre de points.  Pour passer au niveau suivant il faut atteindre un certains nombre de points.

Le droplet a deux mode de chute :

  1. les ailes déployées, il tombe doucement en tournoyant sur lui même,
  2. les ailes repliées, il tombe rapidement.

Le droplet se saisit puis se relâche. Une fois en vol, vous ne pourrez plus le faire bouger. Dans cette phase la seul action possible est de modifier son envergure. Et c’est là que ça ce corse, il faudra éviter des obstacles, passer dans des tuyaux et gérer des courants d’air… On a rapidement le droplet en main, mais les tableaux sont vites tordus. Ce qui n’est pas pour nous déplaire 🙂

L’univers coloré et rigolo de droplet associé à son gameplay efficace nous fait passer un super bon moment avec ces petites bestioles.

4,3,2,1 Jouer à Droplets

mai 14, 2009

Civiballs

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , , ,

Civiballs

Il est pas tout neuf, certes, mais c’est Stéphane qui me l’a fait découvrir hier après-midi sur notre portail de jeux en ligne ZeBest 3000.  J’ai beaucoup aimé Color Infection et Splitter et Civiballs mélange astucieusement les deux gameplay.

Chaque tableau vous demande de replacer chaque boule de couleur dans l’urne correspondante. Pour y arriver il faudra mettre en place une réaction en chaîne. C’est un peu un « incredible machine » coloré.

Le jeu vous propose 3 univers : l’Egypte, la Chine et la Grèce. Chaque univers dispose de sa propre ambiance mais le jeu n’évolue pas. C’est juste pour changer un peu.

Là où je suis un peu dubitatif sur Civiballs c’est qu’il s’agit d’un clone d’Obulis de chez IonFX. J’ai beau chercher je n’ai pas vu de lien entre IonFX et Civiballs. Alors plagiat ou pas ?

Quoiqu’il en soit, avec Civiballs on retrouve les joie d’Obulis et sans sortir le moindre euro. Et ça c’est déjà un bon point 🙂

Le moteur physique est plutôt bon, même s’il souffre parfois d’un peu de lourdeur.  En ce qui concerne l’habillage c’est un joli package et malgré ce que peuvent dire certaines critiques, j’ai trouvé judicieux et même rigolo d’avoir ajouté des petites faces animées sur les boules.

Civiballs propose tout de même 10 niveaux par univers soit un total de 30 puzzles à résoudre. Si vous avez des difficultés, stéphane vous a trouvé la solution complète de Civiballs sur notre blog GuideJeux.

Jouer à Civiballs

mai 11, 2009

Morningstar

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

Morningstar

Glissez vous dans le scaphandre de Powell, l’un des seuls survivants du crash du vaisseau spatial.  Vous êtes réveillé par le crépitement de votre radio et la voie de votre capitaine gravement blessé.

Allez vous réussir à vous sortir de cette mauvaise passe ? Seule votre sagacité vous permettra de venir à bout de cette avent aventire en point and click .

Doté d’une cinématique de tueur, vous êtes dans le bain de suite. Les graphismes sont splendides et la bande son est un régal. La vue subjective est intéressante, et la préésence du casque complète l’opression et l’urgence de la naration. Pour un peu on se croirait dans Metroid Prime 🙂

Les énigmes sont vraiment hardues sans être tirées par les cheveux. Doté dune bonne durée de vie et d’un système de sauvegarde, Morningstar sera votre petite saga de la semaine ou du mois…

Véritable petit bijou, c’est un excellent exemple de ce qui peut être fait dans le domaine du point and click. On s’approche vraiment du plaisir d’un Myst, ce qui est remarquable pour un jeu gratuit et casual.

Si le studio Red Herring Games continue sur cette lancée, il n’y a pas de doute qu’ils se feront une jolie place au soleil.

Jouer à Morningstar.