Jouer-Online Blog

Le monde du jeu en ligne
août 7, 2009

Gravitee 2

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , ,

gravitee-2

Avec Gravitee 2 vous devrez obéir à la gravité, c’est la Loi ! Passé cette vanne un peu spéciale, voyons de plus prêt ce jeu.

Tout de go je vous l’annonce, je déteste ce jeu mais pourtant je pense qu’il devrait plaire. Pourquoi ?

La physique y est bien rendue et les réactions de la balle ne sont pas capilotractées.  L’interface est claire et mignonne et la difficulté bien gérée. La musique aussi est sympathique et soignée.

Mais je trouve le jeu creu…. Je me suis clairement ennuyé dès le 4e niveau et puis je suis une quiche monumentale à ce genre de jeu, du coup je te déteste Gravitee 2.

Regardez la vidéo, vous verrrez ma piètre prestation, saurez vous faire mieux ?

Jouer  à Gravitee 2

juillet 27, 2009

Pixel

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , ,

Pixel

Pixel c’est le nouveau jeu de shoot du studio Hero Interactive. C’est un jeu pour le moins curieux que le créateur de Bubble Tank nous propose là.

Vous contrôlez un petit avatar/vaisseau dans la dimension pixel. Il faudra lutter contre des vagues incessantes d’ennemis aux formes les plus loufoques et variées que les autres.

Jusque là rien de bien original, d’autant plus que les ennemis, les décors  et votre avatar ne sont pas du tout en pixel art. Alors mais diantre d’où vient cette nomination de Pixel ? Et en quoi ce jeu est intéressant ?

Lorsque vous dégommez un ennemi, il explose en une myriade de petits pixels. Vous accourrez pour les récupérer, histoire de charger votre barre de vie et faire avancer votre progression dans le jeu. Mais un petit phénomène rigolo s’opère, lorsque vous récupérez des pixels colorés, votre vaisseau va projeter d’autres pixels. Ce qui a pour effet de créer des effets de chaînes de réactions. Ces chaines sont comptabilisées en combo. Plus vous en faîtes, plus l’écran se transforme en une oeuvre d’art, avec un maginfique effet de feu d’artifice.

La gestion des réactions est un peu complexe au départ, mais on l’exploite rapidement et vous poutrez un maximum d’ennemis. Concernant les contrôles c’est simple : la visé s’opére par rapport à la position de la souris, via un système de rotation. Le tir se déclenche à la souris ou par pression sur la barre d’espace.

Personnellement je déteste les tirs centrés sur la souris. Les ennemis sont souvent derrière vous… Celà a pour effet d’inverser la visé et c’est franchement pénible. Cependant avec les réactions en chaînes, on arrive rapidement à se passer de viser pour créer une sorte de « grosse onde de pixels mortels » autour de soit. Et c’est peut être une des clés pour réussir.

Par moment vous devrez taquiner de grosses bestioles, des boss. Il sont juste gros et pas franchement compliqués à battre. La difficultés tient dans le calcul de votre progression. Elle se fait sur le nombre de pixels dans votre barre de vie. Si vous gâchez des pixels vous diminuez le stock et votre progression recule. Il y’a plus d’ennemis, mais vous devez économiser vos tirs au fil de l’aventure… Difficile équation, qu’il faut résoudre. Il faut exploiter le système de combo au maximum. Tout est là 🙂

Pixel est un jeu addictif, c’est comme le Nutella, dès la première cuillère ont est accroc à vie. Sauf qu’avec Pixel vous ne prendrez pas de gras. C’est un excellent jeu de tir aux effets pyrotechniques réussi. J’allais presque oublier de parler de la musique. C’est simple, si un jour elle est disponible en téléchargement, je prend de suite. Elle est G-E-N-I-A-L-E, elle porte toute l’ambiance du jeu.

Pixel est réussi et immersif. La seule chose qui vous fera décrocher ça sera la crampe dans votre bras 😛

Jouer à Pixel.

juillet 24, 2009

Stepmania bouge ton boule !

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , ,

header_stepmania

Aujourd’hui je laisse la plume à Jean. Il est fan de Stepmania est m’a proposé de nous faire un article sur le jeu.

Si vous aussi vous avez un jeu qui vous plaît et que par le plus grand des hasards vous avez envie d’en parler Jouer-Online peut être votre tribune 🙂

Je voudrais vous parler d’un jeu qui est parfois méconnue en france, mais qui compte néanmoins des fans dont moi-même. Avant le succès de Guitar Heroes, il existait déjà de nombreux jeux musicaux dont le plus célèbre Dance Dance Revolution. Et ce n’est pas de Dance Dance Revolution dont je vais vous parler mais de Stepmania.

Dance Dance Revolution, ou DDR, est un jeu vidéo qui se joue à la base avec les pieds. Il a été créé sous forme de jeu d’arcade par Konami au Japon en 1998. Depuis, de nombreuses versions sont apparues, par exemple des versions auxquelles ou l’on peut jouer chez soi (Stepmania).

StepMania est un jeu vidéo libre, clone de Dance Dance Revolution de Konami ou encore Pump It Up. Il est gratuit et disponible pour toutes les plates-formes. C’est un jeu qui se joue au clavier, sur lequel on utilise les flèches (haut, bas, gauche, droite); ou par le biais de tapis de danse, avec les pieds, si vous en possédez un.

Vous trouvez de nombreuses informations sur Stepmania sur son site officiel : stepmania.com

Au cours du jeu, une musique, est jouée, et des flèches défilent de bas en haut sur l’écran. Le joueur doit appuyer sur les flèches de son clavier correspondants lorsque les flèches atteignent un repère constitué de flèches fixes en haut de l’écran. Au dessus votre barre de vie qui se remplie ou se vide en fonction de vos performances.

Mais sur quoi joue t’on ? Et bien à l’origine Dance Dance Revolution se sont des morceaux Dance/Techno japonais , donc en générale les musiques sont bien rythmées.

Si le joueur arrive à la fin de la musique, une appréciation générale sous la forme d’une lettre de A à E est donnée.
Les débuts sur Stepmania sont souvent laborieux, mais la progression est assez rapide 🙂

Chaque chanson a sa propre vitesse, la plus lente allant à 50 BPM à 400 BPM(battement par minute).

Les morceaux ont également un niveau de difficulté illustrés sous la forme de pieds. Les morceaux les plus difficiles ont dix pieds. Un gentil petit graphique vous montrera les caractéristiques de la chanson (air, voltage, stream, chaos, freeze).

Bon pour ceux qui ont pas compris, c’est pas grave, il y a un tutoriel sur le site officiel, mais bon il faut pas être allergique à l’anglais (ça se soigne!).

Pour y jouer c’est simple, Stepmania est téléchargeable gratuitement sur le site officiel.

En revanche il ne dispose d’aucune musique à la base, il vous faudra alors les télécharger sur le site officiel (sur cette page) ou sur les nombreux sites de la communauté Stepmania. Les packs musiques sont à coller dans le répertoire Songs du répertoire d’installation de Stepmania. En général en double cliquant l’archive retrouve bien ce chemin pour vous 🙂

Il existe des milliers de morceaux connus – ou pas, un large choix de musiques réalisées par des fans est disponible et tous le monde y trouvera son bonheur !

Stepmania possède des fonctionnalités multi joueurs que se soit en local ou en mode online. Il est également possible de configurer sa partie de nombreuses manières. Le jeu propose aussi plusieurs modes qui en ravirons plus d’un pour relever les challenges. Un des grands atouts de Stepmania c’est que l’on peut y mettre les musiques que l’on veut, et on trouve de tout et pour tous les goûts.

Ce que j’ai trouvé très amusant c’est que, au début on a aucune coordination mais on arrive néanmoins à finir une chanson. Et puis après on en fait une autre pour voir, et puis « tiens elle a l’air sympa cette chanson ! » En plus le fait de  voir ses statistiques à la fin d’une partie donne envie de faire mieux la prochaine fois. « j’arriverai à la faire en Light, marre du niveau Beginer » se dit on assez rapidement 😉

Autre point très intéressant est que Stepmania est à la base un éditeur de chanson DDR, de ce fait vous pourrez donc à partir d’une musique que vous possédez crée vos propres flèches via cet éditeur. Ainsi vous pourrez jouer à votre propre chanson. A quel bonheur de jouer sur ma musique préférée, j’avais l’impression que c’était moi qui jouait.

C’est un peu pour toutes ces raisons qu’il est appréciable tant par la diversité des musiques disponibles que par la liberté que l’on s’octroit à les modifier ou en créer d’autres. Le jeu est lui plutôt complet car on peut choisir de nombreux modes de jeu que je vous laisserait découvrir. Il vous faudra certainement vous entrainer pour arriver vraiement a apprécier. De plus la pratique de Stepmania avec un tapis peut être comparée à du fitness, le sport et le fun, que demander de plus.

C’est un jeu qui peu sembler déroutant au départ mais je vous assure que si vous appréciez un minimum vous deviendrez vite accro. Et très vite vous rêverez de flèches sur un rythme endiablé. Vous voudrez devenir fort, toujours plus fort, mouhahaha!!! (rire diabolique)
Alors si vous n’avez pas peur des crampes lancez vous.

Quelques vidéos

Là ça se corse 😉

juillet 22, 2009

Twin Shot 2: Good and Evil

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , ,

twin shot 2

Nitrome possède désormais un catalogue confortable de licence et de personnage pour nous proposer des suites et des adaptations. Travail bien délicat, car vous le savez tous  « c’était mieux avant » ™ est un effet assez terrible et récurant chez l’humain.

Cette épisode de la saga Twin Shot s’intègre dans cette stratégie, et nous propose son lot d’évolution. Il s’agit pour Nitrome d’une nouvelle expérience en tant qu’éditeur. Ils utilisent le nouveau système de micro-transactions  propose pas Mochi Ads.

Le jeu se présente en plusieurs parties :

  1. un pack de 50 nouveaux niveaux gratuits,
  2. un pack de 50 niveaux payant : les Evil Levels
  3. un  module Cheats’N Treats payant, qui donne accès à un mode multijoueurs, l’invicibilité…

Le prix de chaque pack est de 300 Mochicoins, soit environs 3€. Il faut s’attendre à voir débarquer de plus en plus ce type de produit.

Pourquoi ?

Parce qu’il faut bien comprendre que créer un jeu, c’est un investissement et que seul 10% des jeux flash actuels rentrent dans leur frais. Le marché cherche donc des pistes pour améliorer la rentabilité et conserver une part gratuite et intéressante pour les joueurs.

C’est un chemin qu’il faut surveiller de prêt 🙂

Mais revenons en à nos chats rose bonbon qui tirent des flèches plus vite que leurs ombres. Niveau gameplay c’est toujours pareil. C’est un jeu de plateforme très agréable, dont l’originalité réside dans l’interactivité avec vos ennemis.

En effet, vous pouvez grimpez sur vos flèches et vos ennemis aussi. Ils ne se gêneront pas pour vous chatouiller vilainement les moustaches.

Mais Twin Shot 2 n’est pas exempt de défauts. Le format de l’écran est toujours trop resteint pour avoir une bonne visibilité. Vous buter régulièrment contre un ennemi en bordure d’écran. C’est agaçant. La courbe de difficulté fait de sacré zig zag… Ca déroute et ça dégoute presque. Même si le jeu reste assez facile dans son ensemble.

Malgrès ses problèmes, Twin Shot propose tant qu’il est pour moi le meilleur jeu de plateforme du moment. Vous allez prendre une suée en vous frayant un chemin entre les bombardements, les monstres gobeurs de flèches, les plateformes rebondissantes, les plateformes qui disparaissent tout en sautant de nuage en nuage pour éviter les éclair et en saisissant des powers ups de santé, des flèches qui rendent les monstres amoureux… PFIOU !

Twin Shot 2 ne manque pas d’imagination et il apporte en plus d’un gameplay fort, un nouveau business model. Ils sont vraiment trop frot Nitrome.

Jouer à Twin Shot 2

juillet 21, 2009

Moonlights

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , ,

Moonlights

« C’est un petit pas pour le goo, mais un bon de géant pour le peuple goo ». Okay elle était nulle ma vanne sur le 40ème anniversaire de l’allunissage de la mission Apollo 11, mais on fait ce qu’on peut avec ce que l’on a.

Et lorsque qu’on est un boulette accro à la Lune et bien on cherche ses copines et on grimpe. On grimpe jusqu’à la décrocher. Voilà qui résume bien le concept de Moonlights 🙂

Clairement inspiré par le légendaire World of Goo, Moonlights nous propose une nouvelle approche. Sans vouloir le concurrencer, la comparaison est naturelle et délicate.

Essayons d’être objectif, World of Goo n’est pas un jeu dans le navigateur, il s’affranchit de beaucoup de limitations auquelles est soumis Moonlights. D’un point de vue estéhtique, la musique est dans le ton lunaire et enchanteresque. Les graphismes sont sobres et l’effets de particules très réussi. A mon sens, c’est un peu trop lisse et proprounet, le tout manque de charisme et de gouaille.

Niveau physique le moteur rend bien, même si les association entre goo (dans de petits espaces) sont un peu difficiles. Mais ces petits ratés ne sont pas gênants et on arrive à une qualité proche de celle de World of Goo. Même si les structures manquent un peu de souplesse.

Moonlights innove et propose de nouvelles pistes pour le genre gooesque. Il est par exemple possible de supprimer des boules, afin de ramper au sol par exemple. Les surfaces sont réactives. Certaines sont adhésives et illuminent vos goos. D’autres les tuent en toute simplicité. La richesse des surfaces est intéressantes, car combinée aux type de goo, la stratégie prend en profondeur et les scenarii des tableaux deviennent plus piquants 🙂

Le moteur vous signale les segments soumis à une charge excessive en les colorants de rouge. C’est vraiment bien vu. On imagine très bien ce moteur dans un jeu plus sérieux de conceptions de super structures.

Là où World of Goo s’appuyait sur la narration d’une aventure épique et une personnalité forte. Moonlights s’appuie sur une gameplay plus subtile, des tableaux plus variés et un moteur fourmillant de petits détails.

En définitive, Moonlights réussi à se démarquer et à se forger sa propre identité face au Tenor du genre. Mais il lui manque la personnalité et le mordant pour devenir un incontournable. Monnlights a cependant toutes les cartes pour faire du bruit sur iphone. Il s’agit là d’un marché où sa sobrieté graphique paieront d’avantage que sur le marché du jeu flash.

Jouer à Moonlights

juillet 20, 2009

William and Sly

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , ,

William and Sly

Lucas Paakh nous propose une nouvelle création radicalement différente de son dernier Ether Cannon.

William and Sly c’est l’aventure d’un renard chasseur de champignon, qui vie auprès de son ami William. Ce dernier est très ennuyé car le système de runes téléportrices est cassés. Pour le réparer vous devez les réactiver en capturant des feu follets. Mais attentions tapis dans le sous bois les Darklinks se régalent de ces petits êtres lumineux.

Bucolique n’est ce pas ?

Le monde proposé dans le jeu est immense. Des sapins vertigineux à escalader, des cavernes à explorer pour récupérer un maximum de champignons ou des clés pour activer des trésors, vous l’aurez compris William and Sly est un jeu de plateforme frais et merveilleux.

Les animations et la musique sont formidables. Les mouvements du petit renard sont gracieux et très réactifs. Les contrôles sont classiques c’est du bon vieuw [WASD] ou [touches fléchées]. La bande sonore est à tomber par terre. Elle est comme ces chants de baleines : envoutantes et grisante.

Seul bémol le jeu est un peu cours vis à vis de la profondeur épique qu’il peut proposer. Mais est ce qu’il ne s’agirait pas là d’un premier épisode pilote, histoire de nous donner envie d’explorer de nouveaux épisodes ?

Même le nom du jeu se prette bien à la déclinaison sous forme de saga 🙂 Alors à quand la suite ?!

Jouer à William and Sly.

juillet 17, 2009

Sparks and Dust

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

le jeu sparks and dust

Littéralement « étincelles et poussière », le nom du jeu n’aide pas trop à sa compréhension. Et à vrai dire on a très peu d’élément sur l’histoire du jeu.

Incarnez une sorte de prince déchu dans un monde imaginaire et peuplé de créatures étranges.  Votre voyage dans cet univers celeste et brumeux vous ménera à explorer 3 grandes contrées. Les phases de plateformes et puzzles se mixent et s’enchaînent avec brio.

Ce qui impressionne dès le départ, c’est la qualité esthétique. Proche de ce qui se fait sur console portable le jeu est superbe. Revers de la médaille, sur ma machine (un bon core 2 duo avec ce qu’il faut de ram et carte graphique), ça rame par moment. Mais bon ça ne gâche pas le plaisir, ouf !

La musique est dantesque. Alors son côté un peu contemporain et décousu pourra agacé les tympans de certains, mais moi j’adore. Chaque tableau propose une musique appropriée. Comme à chaque fois que c’est le cas, le travail sur la musique permet une meilleur immersion et propose ce quelque chose de plus qu’est l’émotion.

Les contrôle du héros s’articule surtout autour du saut. En effet il se décompose en 3 niveaux :

  1. le saut normal avec [espace] ou [flèche du haut]
  2. le double saut, il suffit d’enchaîner deux fois de suite la commande
  3. l’attaque plongeon, qui s’active au 3e appel successif du saut

Tel un aigle qui foudroie de ses serres, votre héros plonge et provoque une onde choc et terrasse ses ennemis.

Cette attaque est pondérée par l’utilisation du povoir « focus » et par la hauteur du saut. Plus le saut est haut, plus l’attaque sera puissante. Le focus permet d’avoir une puissance d’attaque maximale en sautant normalement. Vous disposez d’une réserve de 3 focus. Ce pouvoir extrême s’active avec [flèche du bas].

Lors d’un saut, vous pouvez maintenir [haut] pour faire planer le héros. C’est génial. Pour le reste c’est classique [flèche gauch et droite] pour déplacer le personnage.

Les contrôles sont précis, réactifs et vraiment très très très bien pensés. Le gameplay est original et facile à prendre en main, signe d’un succès total 🙂

L’univers proposé est vaste et riche. Il y’a par exemple des orbes téléporteurs, des orbes qui vous permettent d’acheter contre les pièces recoltées de nouvelles vies, des focus… Des trésors marqués par des rayons de lumières au sol,  que l’on peut ouvrir uniquement avec le bon type saut, sont disséminés partout… Bref il y’a de quoi faire et à tapper 🙂

Véritable aventure fantasmagorique, on est à la limite de l’expérience cinématographique tant les effets spéciaux sont travaillés. C’est beau, profond et original. Seul reproche, la durée de vie, c’est trop court ! Vivement la suite !

Jouer à  Sparks and Dust

juillet 15, 2009

Parasite

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , ,

parasite de nitrome

Des oiseaux, de la verdure, le doux chant d’une petite rivière en contre bas, que c’est horrible ! Vous détestez toute cette nature superbe, vous n’avez qu’une envie : souiller tout ça et en extraire toute l’énergie pour accroitre votre domination du moooonde !

Voilà le scénario, bien défoulant, que vous propose Nitrome et son Parasite de jeu. Votre protagoniste est une sorte de poulple extra terrestre, doté de capacité de zombification. Il saute sur la tête et peut prendre le contrôle d’animaux plus puissant que lui, comme  un chat avec des ailes, un  blaireau super costaud,et un cochon lanceur de vomi… FUN !

L’ensemble se joue au clavier :

  • les déplacements avec les touches fléchées,
  • Z pour utiliser les pouvoirs d’une bestioles zombifiées
  • X pour abandonné la bestiole.

Le jeu allie séquence de plateforme et véritable puzzle. En effet il faudra se montrer astucieux et utiliser à bon escient les capacités spéciales de vos amis zombis. Par exemple, le chat peut voler, mais peut également tracter avec sa queue des objets.

Mais c’est dans cet alliance des genres que la bas blesse. Les niveaux se répetent un peu trop et la taille du jeu est aujourd’hui problématique. Je pense notamment au phase où il faut éviter des ennemis qui arrivent au hasard…

Mais bon, il y’a suffisament de  moments super sympas dans le jeu et de vrai torture neurones pour que l’ensemble soit très sympathique. La musique et le charisme du caractère sont là, il manque peut être juste un peu plus de cohésion.

L’équipe de Fat Cat et Final Ninja Zero réussiront ils à améliorer Parasite dans une suite ? A suivre !

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juin 25, 2009

Phage Wars 2

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , , , ,

Phage Wars 2

Les films de pandémies mondiales m’ont toujours fasciné, la génétique aussi et le cauchemar Frankenstein aussi. J’aurai aimé devenir un grand savant capable de manipuler toute sorte de bestioles pour dominer le MONDE ! AH AH AH (rire diabolique).

Bon on resaisit, Phage Wars est un jeu de chez nos amis Armorgames. Il nous propose une simulation de manipulations génétique, afin de créer un méga virus uuuultra agressif ! Dans quel but ? On ne sait pas bien et à vrai dire on s’en fout.

Il s’agit d’une suite du premier opus et introduit de nombreuses améliorations. L’IA est plus agressive que jamais, on peut maintenant personnaliser son virus très simplement en sont un enchantillon.

Le jeu est très immersif. Sa présentation sous forme d’un système d’exploitation (OS) donne l’impression d’être un généticien à l’oeuvre. On ouvre la boîte de Pandore c’est magique et fantastique, tout celà donne le tourni.

L’OS fournit une documentation sous la forme d’un fichier text, il va falloir le lire. Il est très instructifs à propos des combos de touches et les configuration à employer pour créer un véritable monstre microscopique.

Mais le must reste le plaisir d’appuyer sur « RUN THE EXPERIMENT ». Là tout bascule, on contrôle son virus via la souris et il faut bouffer les autres le plus vite possible en contaminant toutes le celulles du tableau. Dès le début la difficulté est là, il va falloir vous remuer, ça va vite très vite !

Quel plaisir de voir sa création semer le chaos et la désolation ! MOUHAHAHAHA (hmpf…)

Certains râlent à propos  de l’esthétique du jeu, moi je la trouve fantastique. On s’y croirait presque, j’adore. Encore une fois  Joey Betz (Crush the Castle) nous sert une vraie merveille. Car il a poussé la simulation jusqu’à vous proposer dans le jeu un analyseur statistiques de vos parties. On y voit de jolis graphiques détaillant les caractériques de votre virus et également sur le déroulement de l’expérience.

Celà pousse encore le réalisme du labo de recherche et c’est vraiment une fonctionnalité clé du jeu. Sans elle tout le travail d’OS virtuel ne serait qu’un moyen de justifier une interface moyenne. Là on essaie de coller à une certaine réalité, une image d’épinal, un Frankenstein numérique.

Phage Wars 2 est un jeu de stratégie survitaminé et qui vous donnera le temps du jeu l’impression d’être un savant fou ! Franky tiens toi bien on va tous les infecter ! H1N1 c’était juste une petite blaguounette 😀

Jouer à Phage Wars 2

juin 24, 2009

Double Edged

Author: Thierry S. - Categories: Jeux - Tags: , , , , ,

Double Edge

Tiens hier Nitrome a sorti un nouveau jeu et cette fois c’est pas du puzzle, mais clairement du fracassage de casques bien rigolo.

Vous êtes un guerrier Sparte qui part à la conquète de la grèce antique. Ce hack and slash propose une aventure réalisée d’une main de maître.

Je suis souvent déçu par ce genre de jeu, les contrôles sont en générasl insuffisants ou alors mal positionnés. Et bien Nitrome a simplifié à l’extrême: touches fléchées, une touche de saut et pour taper. En permettant la personnalisation des contrôles, on est de suite à l’aise et les combos se déchaînent rapidement.

Mais le plus c’est le fun intégré dans le jeu, quel autre beat them all vous permet de taper vos ennemis avec des poulets ou mieux balancer un sanglier à la tronche des petits Stormtroopers grecques antiques ? Aucun. Les ennemis s’expriment et les expressions sont vraiment rigolotes. Je citerai le « Not in the face » quand vous vous excitez un peu trop sur un des soldats adverses.

Distrayant et acompagné d’un univers graphique et musicale plus recherché qu’à l’accoutumé, Double Edge est pour moi le meilleur jeux de hack and slash de l’année en flash.

Le jeu propose également un mode 2 joueurs, permettant ainsi de s’éclater à deux et ça c’est vraiment sympa 🙂

Seul reproche le jeu est un peu trop facile, mais bon les niveaux sont assez long ce qui contribue à cosnerver une bonne durée de vie. Ah on peu rajouter aux griefs inutiles : les contrôles pensés au départ pour les clavier Qwerty.

Jouer à Double Edged